À l’heure où les étoiles font
descendre les rêves jusqu’au lit des enfants, le sage tend l’oreille vers
l’espace.
Perplexe il s’interroge sur la finalité du monde.
Sa grande main
exprime un désarroi aussi profond que le vide après la douleur.
Venue du fond de sa
conscience, comme une fée jaillissant de son âme et prenant forme juste pour
lui, une voix lui murmure qu’il lui faut accueillir sans juger ni désespérer.
Alors ses yeux se voilent, il se retire dans l’infini de la compassion, au-delà
des sentiments qui bouleversent l’humanité.
Texte et recherche picturale "sans titre"
C'est très joli Adamante, prenons le jour comme il vient... avec ses qualités et ses défauts, comme nous...
RépondreSupprimerJ'aime... tout simplement.
RépondreSupprimerMerci, Adamante.
Image et texte vont bien ensemble, merci Adamante
RépondreSupprimer