Poussière de silence
Vibration des sphères
Quelque part dans la
nuit
La vie se pense
Regard vers les
étoiles
Perdue d’immensité
La Terre-mère observe
La vie exsangue
Poussière de silence
Le hasard se
construit
En formes et couleurs
Ciel grand offert
Poussière de silence
Les mots sont indurés
Dans les pierres
immobiles
Le cœur bien lourd
Poussière de silence
En moi
Plus rien
Le vide
Illuminé
©Adamante Donsimoni (sacem)
August Strindberg, Célestographie XIII, 1893-1894, photogramme, 12 x 9 cm,
Bibliothèque nationale de Suède, Stockholm
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Superbe !
RépondreSupprimerLe vide, illuminé...
RépondreSupprimerJe relis avec plaisir cette poussière de silence, c'est un beau poeme Adamante, j'étais venue pour relire ton texte sur Turner, je reviens vers l'Herbier