Léonard Tsuguharu Foujita, Femme allongée, Youki, 1923, huile sur toile, 50 x 61cm, collection particulière © Fondation Foujita / ADAGP, Paris, 2018
Dans son regard de ciel, dans cette immensité de temps sans début ni fin, une histoire à peine esquissée pour nous laisser le temps du rêve.Le retirementle profond des abyssesun cri d’absenceLa femme nuages, peut-être une chimère, nous livre par ses yeux la parole sans tain du silence. Impossible de s’exfiltrer, tout est poids dans cette légèreté.Une colombel’esprit insaisissabledérive de blanc©AdamanteDonsimoni (sacem)
J'aime l'idée de la femme nuage... c'est magique !
RépondreSupprimerMerci pour cette très belle page, Adamante.
Passe une douce journée.
Le spectre de la lumière
RépondreSupprimerBonsoir Adamante… A quoi ou à qui pense t'elle, on peut imaginer plein de choses, muette, cela restera un mystère pour nous, merci… JB
RépondreSupprimer