On a chanté le pont de Nantes et la Loire majestueuse, nous chanterons le pont de Comencau et l'Aveyron que domine le château de Cayla. Une enjambée singulière, dessus les eaux cascadant joyeusement vers le Tarn pour rejoindre l'Océan, que toutes les rivières et les fleuves convoitent.
Un irrésistible voyage
le goût du sel, du vent
et des voiles
Le vieux pont immobile la regarde danser cette eau prise d'impatience. Le paysage est à rêver quand les buissons du printemps explosent le blanc de leurs fleurs, dont le parfum grimpe jusqu'aux pierres resplendissantes du château, au coucher du soleil.
Un petit éclat
un souvenir de l'Eden
pour l'âme en exil
où, sur cette terre sacrée
elle peut contempler la lumière.
Adamante Donsimoni
Bonjour Adamante,
RépondreSupprimerLe temps d'une lecture et je me prends à rêver de nature, de chants d’oiseaux et de celui de l'eau glougloutant sous le vieux pont pittoresque.
Très joli haïbun
:)
Que de ponts à franchir avant d'atteindre la liberté de penser et de vivre...
RépondreSupprimerLa liberté de rêver.
La paix.