Ils sont là, ils attendent. Campés sur le couchant comme les
chats dans les herbes.
Les nuages, au lointain, déversent leur trop plein d'ombre.
Éventail zébré de pluie, rayonnement de brume sur l'avant de
la nuit.
Sont-ils cerbères ou sphynx ? Ils guettent, menacent et
protègent.
Le temps que j'écrive, l'horizon a avalé tout le restant de
bleu.
Le jour est mort, vive la nuit.
Le jour est mort, vive la nuit.
Il ne reste plus que les yeux de braises des immeubles
méditant sur la folie du monde.
©Adamante SACEM
Tant d'années éloigné
RépondreSupprimerLa nuit s'en est allée
De retour en poésie
Je passe par ici
Merci pour tes mots !
Merci de ta visite Hervé, belle soirée.
SupprimerLa vie suit son cours
RépondreSupprimerma plume court encore
dans un autre jardin
espace ouvert aux amis de passage
la poésie, les photos, les écrits
chassent les nuages
les mots farandolent
dans les rêves de mes nuits
heureuse que nos chemins se croisent de nouveau, merci pour ta visite et j'espère à bientôt
Tu publies sur plusieurs blogs à la fois ?... ou est-ce que mes commentaires sont encore en attente ?
RépondreSupprimerJ'avoue être un peu perdue.
Tu publies sur plusieurs blogs à la fois ?... ou est-ce que mes commentaires sont encore en attente ?
RépondreSupprimerJ'avoue être un peu perdue.
Ici je ne publie que des textes. Sur images et rêves, c'est plus général et sur soleilune uniquement mes tableaux. Voilà, tu sais tout. Belle journée, Quichottine.
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