Tout est flou. Le carreau pleure et les formes s’estompent.
En code imaginaire, l’œil compose hors du rail, distorsion des formes, libres de toute précision.
C’est peut-être cela la beauté, une idée vague qui musarde passé les limites de ce que l’on nomme le réel.
Le carreau pleure
l’imprécis se dessine
beauté du rêve.
©Adamante (sacem)