La conscience d’être
dans la vibrationdans l’essence de la viela conscience d’être
dans la vibrationdans l’essence de la viela conscience d’être
🍀 Une invitation à faire le dos rond pour ne pas céder au désenchantement, car ne l'oublions pas : rien ne dure jamais. 🍀
Belle fin d'année à vous qui ici me lisez.
🍀
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Pace e salute.
J’ai là
au centre de ma poitrine
un océan de gratitude.
J’ai dépassé la menace
des ombres
le miroir déformant où
je me trouvais laide.
La plage qui m’accueille
reçoit à chaque vague
l’écume nitescente
de l’amour.
Elle murmure
chante
exalte ses notes
de lumière-
les mots limpides
de la paix.
Plus que le calme
après la tempête
je réalise le soupir
du vaisseau éreinté
-s’extirpant sain et sauf
de la tourmente-
devenu plus beau
plus fort
plus confiant.
Un silence d’or ce
matin baigne le rivage-
quelque part en moi
un diamant palpite et rayonne
au travers de sa gangue.
La joie prégnante est l’affaire du cœur.
Qu’y a-t-il à attendre ?
La richesse est une plénitude de
ce vide qui engendre toute vie.
Me voici née une énième fois.
Adamante Donsimoni
29 décembre 2024 ©sacem
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| Acrylique/toile adamante D |
Nous vivons une époque formidable !
Un monde vorace s’écroule, s’accroche et menace.
Réalisons que c’est la peur qui anime la bête insatiable
Et rions !
Réjouissons-nous !
Inventons le monde suivant.
Pensons-le, modelons-le de nos lumières.
Ne regardons pas au travers du prisme méprisant des élites,
Gardons-nous de nous aliéner à leurs mensonges.
Ne restons pas esclaves des faux besoins dont ils rêvent nous abreuver.
Redevenons libres de toute crainte.
Le temps est bref de la traversée terrestre
Posons-nous la question de ce que nous sommes venus faire ici.
Plantons notre regard sur les décombres de leur civilisation,
Regardons les fleurs sauvages y pousser.
Ensemençons la terre de nos rêves Arc en ciel
Réalisons cette ronde planétaire d’Êtres Libres honorant la vie
Dans le respect de soi et de l’autre
Nous sommes intriqués.
Pas de hargne
Ne nous battons pas avec les armes qui nous attaquent,
N’étouffons pas la joie du cœur qui brûle en nous
Soufflons sur ces braises
Qu’elles enflamment le monde
Et que l’espoir s’érige
Avec la confiance inébranlable de notre foi en la vie.
L’amour est force, la peur est faiblesse.
Intuitivement, nous le savons depuis l’enfance,
Notre force intérieure est immense.
Aucune menace ne doit nous effrayer
Nous avons déjà en nous le goût de la victoire
Elle n’engendrera pas la vengeance mais la réalisation
La complétude et la compassion.
Adamante Donsimoni ©ms/sacem
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| Une rose creusoise |
J’aime à croire que nous sommes tous des chevaliers, des chevalières, de tous âges, de toutes cultures, de tous horizons, que la vie a envoyés sur Terre en quête de l’Amour. Non pas que celui-ci nous manque ou nous ait été ôté, plutôt qu’il a été masqué par l’ignorance de qui nous sommes face aux aléas de notre incarnation.
Ainsi sommes-nous amenés à faire preuve de ténacité, de confiance, pour découvrir, boueux au sortir de l’ornière, écorchés aux épines du sentier, que cet amour, c’est en nous qu’il se cache.
Rien, mis à part le doute et la peur, ne peut nous en priver car nous en sommes l’incarnation. Alors, héros accomplis de la quête, le regard brillant, nous pouvons avancer au travers de toutes les ténèbres avec au coeur cette lumière inextinguible seule capable d’illuminer le monde sur son passage.
Je crois que, gâté ou misérable, c’est là l’unique quête de chacun d’entre nous. Il n’est pas de plus noble mission que de révéler sa propre lumière pour enflammer, réveiller celle qui se cache en l’autre car, en dépit de notre cécité, elle est Une et indivisible, elle n’est autre que l’Amour.
Quant aux ténèbres, elles ne sont pas là pour nous perdre mais pour nous inciter à nous retrouver ; elles ne sont pas là pour détruire la lumière mais pour la mettre en gloire.
À toute chose son contraire pour que, l’équilibre atteint, le centre s’illumine.
Adamante Donsimoni
Pantin 28 décembre 2023
©sacem-musicstart
Je le sais, certains d'entre vous n'arrivent plus à me laisser des commentaires, moi-même je n'ai plus accès à la réponse immédiate en tant qu'administratrice du blog, vous n'êtes donc plus informés si vous n'êtes pas abonnés aux commentaires. Tout cela devient compliqué.Alors je vous propose de me laisser vos impressions via le mail de l'Herbier :lechantdusouffle@gmail.com
Je me ferai un plaisir de les rajouter en fin de cette page.On nous refuse l'entrée par la porte, nous entrerons par la fenêtre, mais nous entrerons.
Je ne me tairai plus
Je revendiquerai ma folie
Ma soif de lumière
Et mon désir de paix
Je révèlerai ma force d’âme
À moi-même
Et au monde
Je dévoilerai qui je suis
Ma nudité première
Ancrée dans cette vie
En forme, en vibration
Le temps n’est plus à s’effacer
À se laisser effacer
À se voiler
À fuir sa propre réalité
« Je suis ce que je suis »
Je suis
Ce moi profond, le Soi
Révélé à moi-même et
Désormais assumé
NON !
Je ne me tairai plus
Je réaliserai ma vie
Libre de la peur
Il n’y a rien à perdre à se réaliser
Et plus aucune gomme
Jamais
Ne pourra effacer
Qui je suis
Dans la lumière.
Adamante Donsimoni
©sacem-musicstart
9 octobre 2023
Nous vivons, évoluons, au sein d’un grand maillage énergétique qui capte nos pensées, nos émotions et les transporte vers d’autres, sans doute plus rapidement que la vitesse de la lumière. Ainsi recevons-nous, les pensées, les émotions des autres, ainsi en sommes-nous influencés car inconsciemment ou non, tout cela nous le captons.
Il n’est aucune pensée, aucune émotion qui échappe à ce phénomène.
Cet Océan du Souffle (souffle de vie) que d’aucuns assurent impossible à voir, je l’ai vu. Je l’ai vu une fois, une seule fois, du moins avec cette intensité, après quelques mouvements de Qi Gong sur un site mégalithique. Quand alors j’en ai parlé à mon maître, j’ai obtenu cette réponse fort chinoise : « Vous êtes très sensible ! ». Merci Maître, j’ai tout compris.
Cette expérience demeure inoubliable, et tellement naturelle que je l’ai quittée alors sans aucun regret. J’ai compris depuis l’enseignement que j’ai reçu ce jour-là. Outre la beauté, la magnificence de la chose qui m’a marquée à jamais, c’est la raison, l’intelligence de cette organisation qui s’imposent à mon esprit.
J’ai compris que nous sommes reliés en permanence à cet Océan de lumières. Nous y baignons, et tout cela nous unit à tout ce qui vit, tout ce qui vibre.
Je me répète sans doute, mais cette compréhension de l’organisation du monde me paraît primordiale. Si tout est relié ainsi, tout est influencé et tout influence tout. À l’instar des ondes radio, à nous de faire le choix de la station qui nous convient. Toutefois hélas, nous captons souvent par inadvertance la station la plus écoutée, la mieux diffusée, celle de la peur.
Sur la planète où nous vivons, les plus hauts dirigeants, à dessein de régner, diffusent la crainte, le doute, ils construisent ainsi les murs qui séparent les êtres, les nations. Les chaînes officielles d’information nous inondent de mauvaises et de fausses nouvelles. Voilà, si nous n’y prenons garde, les stations que nous captons.
Dans notre monde où tant de gens aspirent à la paix, un pays sur deux se retrouve être en guerre. Dans notre monde donc, il est primordial et urgent que les êtres conscients demeurent vigilants et stables, qu’ils veillent à communiquer des pensées d’espoir, de paix, de confiance et de joie.
Sur ce grand échiquier nous sommes donc, absolument tous, totalement responsables de ce qui nous arrive et nous arrivera.
Chaque pensée est un aimant qui attire ses semblables. Doit-on se retirer du monde ? Je ne le pense pas, bien au contraire, il nous faut écouter le monde, la voix de l’autre rive, il nous faut la connaître en veillant à ne pas se laisser piéger afin d’émaner le sentiment d’amour avec toute l’intensité requise pour arriver à contrecarrer les forces négatives. Cela ne signifie pas d’abandonner les luttes humaines, mais à les mener animés par ce sentiment d’amour et une confiance inébranlable.
Le cœur doit rester pur, vertueux. En médecine chinoise si l’empereur est le Cœur, siège de la joie, donc de l’amour, le général est le Foie à qui l’on attribue le sentiment de la colère. Quand le général cède à la colère, il détrône l’empereur, le pays court à sa perte car la colère se retourne immanquablement contre celui qui la génère. Dans le corps l’organisation des organes est bouleversée, la maladie s’installe, dans le monde c’est le chaos qui s’installe. Un bon général se doit donc d’être éclairé, et tout faire pour éviter l’affrontement afin de préserver la paix. Il doit arriver à la maîtrise qui permet de diffuser la force de l’Empereur. Au monde de l’énergie, de la vibration, on ne se sauve jamais soi-même en ignorant l’autre. Il en est de même dans le monde. C’est cela le Un. C’est cela l’aspiration au Un.
La force d’amour n’est pas affaire de bisounours, c’est une force de cohésion à nulle autre pareille, la seule force que l’on ne peut vaincre. L’amour ne peut être que sans attente, il ne peut que se donner parce qu’il est déjà tout, parce qu’il a déjà tout, parce qu’il est création. Il est la force des origines.
Soyons-le, redevenons-le, car en chaque être il y a cette étincelle, ce souffle, que d’aucuns appellent Âme, Conscience, Esprit.
L’Amour est cette particule de lumière en nous, semblable aux particules de lumières du grand Océan que j’ai eu la chance, un matin, de contempler.
Adamante Donsimoni
24 février 2023 ©sacem
J’ai croisé le dragon du Soleil, celui qui garde la lumière d’or en son cœur. Le soleil est sa raison d’être, la lumière son sacerdoce.
Dans les brumes matinales, et bien que dissimulé par les volutes laiteuses montant à l’assaut de l’océan du ciel, il m’est apparu, couronné d’un faisceau de rayons blancs. Un clin d’œil de la nature à mon âme rêveuse, sans doute. Tout en lui exprimait la prestance et la noblesse, l’humilité et la sagesse, ce qui est l’apanage des grands.
Un œuf de lumière sous chaque patte avant, il veillait. Quelle divine couveuse ! Esprit de l’espace infini, grand ordonnateur de la pensée humaine, c’est ainsi que je m’en souviens.
Il me semblait rêver la naissance d’un avenir rayonnant. Je crus percevoir le chemin que dessinaient ses pensées, un sentier sinueux longeant tranquillement nos abîmes humains, la voie d’une avancée sans crainte animée de la certitude qui habite les justes.
J’ai compris que demain ne pouvait appartenir à la vitesse mais au discernement, à la paix dans le sac à dos, à la marche lente et régulière des faiseurs de rien qui accompagnent le temps dans sa dimension d’instant éternel.
« Je reçois et j’accueille, alors ce qui est plomb se transforme en or. »
Ai-je rêvé ces mots lorsqu’il posa son regard sur moi ?
Que de douceur, que de tendresse il y avait dans ce regard. Je ne sais combien de temps dura cet échange, je m’étais oubliée. Lorsque je repris mes esprits, mes troubles m’avaient quitté, plus aucune peur, plus aucun regret, je venais de naître.
J’aimerais aujourd’hui, suivant son enseignement, œuvrer pour un monde harmonieux d’ombre sans ténèbres et de lumière sans brûlure.
Cela est possible, je le sais, il ne faut pas désespérer.
Adamante Donsimoni © sacem
Par tant de souffrances, le monde a perdu sa couleur. Il faut qu’il la retrouve.
Il y a, dans chaque particule de création qui en assure la cohésion, ce qui lui est nécessaire, et cela se respire. C’est par l’air que la guérison arrive, par le geste vers le cœur de la vie que s’accorde notre cœur à son rythme. C’est par la grande respiration du corps qu’arrive la liberté.
Le corps est une rivière parcourue de courants, ne rien retenir, tout accueillir et se nourrir de ce qui nous est nécessaire, et qu’il dépose en nous. Le corps est une rivière ancrée à la terre et voguant avec elle dans l’espace nourricier.
Que pourrions-nous tenir, alors que le nécessaire nous est offert ? Offert à l’unique condition d’accueillir et de lâcher, ne rien vouloir et tout avoir.
Laisser respirer ses cellules et s’abandonner au rythme des flots.
C’est cela la couleur, c’est cela le bonheur.
Cela, c’est la vie.
Adamante Donsimoni (©sacem)
5 novembre 2020